Cast away (seul au monde)
Un film que j'aime: cast away (seul au monde) avec Tom Hanks. Pour ceux et celles qui ne l'ont pas vu, c'est l'histoire d'un type qui travaille pour FedEx et prend l'avion souvent pour aller dans d'autres pays. Son avion a un accident au-dessus de l'océan à cause du mauvais temps. Il est le seul survivant et se retrouve sur une île déserte. Seul... Ce film transmet vraiment bien le côté de la solitude imposée. Des paquets s'échouent sur l'île. Il déballe les paquets sauf un qui sera son icône pour se donner le courage nécessaire pour survivre et sera son espoir de retrouver les siens.
Un des paquets est un ballon. Le ballon est un Wilson (le dentiste de Tom est Spalding!), Wilson est le nom de son nouveau copain. Cette découverte est le fruit du hasard à la suite d'un saignement de la main de Tom qui est en furie d'être incapable de faire du feu. Wilson a un visage rouge. Tom a un copain. Tom parle à Wilson et «ensemble» ils s'obstinent.
Un jour, Tom se fait un radeau. Il amène Wilson. Et Wilson se décroche. Tom essait d'aller le chercher mais il est juste un peu trop loin donc il doit rebrousser chemin.
Où je veux vous partager mes sentiments de ce film si précieux, c'est que lorsque Tom pleure Wilson, la sorte de pleurs me fait pleurer. Tellement! C'est une des rares fois où je sens la déchirure de la séparation... Même de l'abondon.
Je pense que dans ma vie personnelle, la sensation d'abandon est une des plus douloureuse que je connaisse. Je sais bien, j'ai grandi émotionnellement mais je trouve difficile de me séparer des autres. Je trouve que la séparation est une déchirure au coeur. Même par la mort, la séparation m'est douloureuse. Je sais bien, il faut tous mourir un jour. Je sais bien, il faut se séparer de tout dans la vie: quand il n'y a plus de séparation à faire, c'est qu'on est mort.
C'est dur pareil!