le cerveau d'un homme et d'une femme

Mes biens chers neveux et nièces

Je vais vous raconter un truc. Un truc franchement intime. Un truc qui fait rire les gens en général mais qui est en même temps très tabou.

Il y a une blague qui dit qu'un homme a deux cerveaux: le petit et le «gland». Et quand un homme, un jeune surtout est en érection, il n'a plus sa rationalité donc il ne pense qu'au sexe.

Un jour, dans un forum de femme, une femme faisait cette blague-là... Elle pensait peut-être qu'elle ferait rire son auditoire. Mais, j'ai envoyé une réponse qui m'avait valu soit des éloges, soit des insultes.

Alors, la femme écrit sa blague sur le gland cerveau des hommes, incitant qu'ils ne réfléchissent plus. Et moi, j'avais écrit qu'une femme lubrifiée... lui restait-il un cerveau?

Ouffff

J'ai compris qu'on ne doit jamais éduquer les femmes à comprendre leur sexualité. Pas que le sexe est une mauvaise option mais plutôt parce que l'option du sexe sans réflexion est aussi pire chez l'homme que chez la femme.

Une femme qui lubrifie dès qu'un homme lui fait de l'effet est son pire ennemi. Elle va tout faire pour se dire que son intuition lui dit ceci, cela mais elle refusera de comprendre que son sexe peut détruire ce qu'elle veut construire.

Premièrement, en grand général, les femmes, surtout les jeunes femmes, ne disent que rarement qu'elles aiment le sexe. Elles aiment l'amour qui mène au sexe. Combien de femme disent qu'elles se masturbent? Remarquez, chez les hommes c'est aussi pire. On dirait que la masturbation est quelque chose que seul les loosers ressentent ce besoin puisque les winners ont des relations sexuelles.

Toujours est-il qu'une femme qui refuse de se voir aller dans ses désirs va rechercher des hommes qui va la satisfaire. Souvent on parle de «bad boy»... Les femmes les aiment.  Ils ont un p'tit quelque chose que les autres gars n'ont pas...

Bin oui et savez-vous ce que c'est? Ils savent vous mentir et c'est ce qui vous amène au lit et c'est cette drive-là qui vous fait lubrifier.

Un jour, peut-être parlerons-nous de ce qui nous excite sexuellement? Ce sera un jour où l'on grandira.